La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1439)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode précédent 1438) -

C'était Noël après tout ! … Ainsi je fus entraîné en dehors de la grande salle de bal, bousculé et claqué par Miss Caty qui semblait parfaitement connaître le dédale de pièces et des luxueux couloirs du Château. D'un pas décidé et donnant de temps en temps un petit coup de taser sur ma croupe, elle me fit ainsi avancer sans ménagement jusqu'à une belle porte cintrée de bois ancien et vernis qui s'ouvrit en silence alors que nous n'étions plus qu'à un pas... Elle donnait dans une pièce de dimensions relativement modestes, surtout par rapport à l'immensité des autres salles jusqu'ici traversées. Mais cette pièce était très richement décorée, de tableaux dignes d’un musée, des boiseries dignes de Versailles, des objets divers dignes d’un collectionneur d’Art… En son centre un large bureau derrière lequel se tenait assis Le Maître dont j'étais devenu la propriété, Monsieur Le Marquis d'Evans, Seigneur et Maître Vénéré. Je stoppais devant le bureau, sous le regard froid et profond du Maître. La jeune Demoiselle s'installa sans façons sur un coin du bureau après un regard complice avec le Noble. Toujours affublé du cercle de métal maintenant ma bouche grande offerte, je gardai les yeux baissés en Présence du Maître dont la Voix calme, posée mais paradoxalement si autoritaire retentit dans le bureau feutré :

- Je ne suis pas mécontent de ton attitude, esclave. Tu obéis et tu ne rechignes pas à être utilisé. Cela constitue de bons points, même si tu as encore beaucoup à apprendre. Mais désormais, tu m'appartiens et donc tu vas apprendre et apprendre vite, car Je ne supporte pas l'approximation. Aujourd'hui est un jour un peu spécial car tu vas recevoir une récompense qui ne te quittera plus, un cadeau à garder à vie. Mais avant cela, il est nécessaire que je fasse les présentations. Je sais que ta profonde Nature de chose servile a dû apprécier la maîtrise de ma très chère cousine, Divine d’Evans, plus connue sous le nom de Miss Caty.

Elle est encore jeune, mais possède à merveille une vraie Nature Dominatrice digne de La Lignée de la Famille des Evans, dont elle fait partie, étant la fille du frère de mon père. Et elle adore avilir et faire souffrir les esclaves. Tu dois savoir que Nous sommes très proches et que j'ai décidé d'accepter Sa Demande : Désormais, si je suis appelé à m'absenter quelques jours et qu'il n'est pas utile que tu m'accompagnes, c'est à Divine que tu seras confié et naturellement Elle aura tous les droits sur toi jusqu'à Mon Retour...

Je n'osais relever la tête, mais je sentais le regard du Maître et de Sa Cousine peser sur ma frêle silhouette courbée; ainsi peu à peu se mettaient en place les modalités futures de ce qui serait définitivement ma vie d'esclave. Une vie désormais totalement dépendante de La Volonté de Monsieur le Marquis Edouard d'Evans, le Maître qui m'avait révélé ma profonde Nature et qui avait fait de moi Sa propriété exclusive, corps et âme. Le Châtelain claqua sèchement des doigts et je sentis un mouvement dans mon dos. Je vis alors Joëlle, une des autres esclaves femelles permanente du Maître, venir devant moi. Elle était nue, bien sûr, à l'exception d'un large collier de cuir lui faisant comme une minerve qui la contraignait à garder la tête parfaitement droite. Elle me défit le bâillon et me remit le mors de cuir. Puis demeura immobile face à moi. Un second claquement des doigts du Maitre et esclave Joëlle s'agenouilla devant moi, et je sentis ses lèvres enserrer ma verge qui se tendit brusquement. Joëlle me suçait avec énergie, avalant l'entièreté de ma petite nouille et sa langue titillant mon nœud excité à l'extrême. Je m'appliquais à demeurer aussi immobile et impassible que possible. Sans y parvenir car esclave Joëlle était d'une habileté terrible et la fellation experte qu'elle me prodiguait était exceptionnellement excitante… Pourtant un nouveau claquement de doigts du Maître, elle interrompit ce moment avant que je n'ai atteint l'éjaculation et je demeurai ainsi haletant et insatisfait, ma nouille de chien dressée à l’extrême.
..

- Bien, j'ose espérer que tu as su apprécier ce moment, esclave. Ainsi tu conserveras le souvenir de ce que peut être l'excitation...

La lèvre encore tremblante, je ne savais plus, ni quoi ressentir, ni quoi penser. Même si j'avais déjà appris que penser ne sert à rien pour un esclave, qui n'est rien de plus qu'un fétu de paille emporté par quelque chose de tellement plus puissant que lui : La Volonté du Maître ! Mais il m'était encore difficile de respecter pleinement cette règle de l'abandon total et j'avais la faiblesse d'essayer encore de comprendre, d'anticiper ce qui allait être décidé pour moi... Cependant un bref geste du noble Marquis s'empara de mon attention. D'un autre coin de la pièce, une autre esclave femelle approcha dont je n'avais pas perçu la présence. Elle était nue, une silhouette plastique très belle aux sinuosités des épaules, des hanches sublimement proportionnées, les mains liées dans le dos, le visage dissimulé dans une cagoule de latex hyper moulante qui ne laissait que deux minuscules trous pour les yeux et 2 autres pour respirer sous les narines. Deux épaisses pinces à seins vissées étaient fixées à ses tétons rosés maintenant par des fines chaînes un petit plateau d'argent sur lequel un objet semblait posé, mais dissimulé par un voile de velours noir…

Le Maître se leva alors et approcha de l'esclave ainsi dépersonnalisée et il passa la main sur sa croupe, puis sur son pubis impeccablement épilé sur la peau duquel étaient tatouées les Armoiries de la Famille des Evans, juste au-dessus de son sexe. La doigtant lentement... longuement, le Maître jouait de cette intimité offerte, non comme d'une personne qui aurait pu mériter quelque égard, mais vraiment comme d'un objet, d'une poupée dénuée de tout sentiment n'existant que pour subir docilement tout ce qui lui était imposé. Et c'est bien ce qu'elle était. C'est bien ce que j'étais. C'est bien ce qu'était Joëlle. Nous n'étions que cela, des objets, des créatures totalement asservies, formatées par une Volonté Supérieure, façonnés au gré des Volontés des Supérieurs qui avaient tous les droits sur nous, sur nos corps, sur nos actes, sur nos esprits.
.. sur nos âmes !

Mais déjà j'avais trop pensé pour un esclave en présence du Maître dont je suis la vile propriété. Et Monsieur le Marquis se tournait vers moi tenant devant lui ses doigts poisseux de la mouille épaisse de l'esclave femelle qui était demeurée parfaitement immobile, impassible et silencieuse, mais n'en avait pas moins montré ainsi la sensibilité de son corps de chienne possédée, par une abondante cyprine. Le Maître défit de Sa Main libre le mors qui me bâillonnait et me fit sucer Ses doigts souillés. Je léchais chaque doigt avec dévotion et profonde reconnaissance, mes yeux eut tout juste le temps d’apercevoir sur le collier de cette jeune femme esclave, son nom inscrit en lettre d’Or : ‘esclave Sophie MDE’… Puis s’adressant à moi :

- Maintenant, Mon chien, tu vas donner du plaisir à Mon esclave. Lèche-la et fait-la jouir, le chien. Et toi, esclave Sophie MDE, tu es autorisée à jouir sous les coups de langue de ce bâtard, mais strictement interdiction de laisser apparaitre ton orgasme, je te veux impassible sous la jouissance, totalement impassible, comme tu as été dressée pour cela, je ne veux aucun son, pas un seul mouvement de ton visage sous ton masque de latex, comme sur tout autre partie de ton corps de chienne qui doit rester totalement immobile. Et cela afin de démontrer à Mon chien, la Perfection et la Maîtrise de Mon Emprise sur Mes Propriétés, comme toi … Quant à toi, esclave Joëlle, suce de nouveau ce chien et il n’a pas intérêt à lâcher son foutre de bâtard, sous peine d’une sévère punition …

C’est ainsi qu’agenouillé, je m’approchais de la chatte parfaitement lisse de cette très belle créature au corps de femelle sublime dont le visage était dissimulé. Alors que ma langue commença à titiller ses lèvres douces et intimes de son sexe, de bas en haut et de haut en bas, j’enfonçais le bout de ma langue dans son vagin pour y découvrir une humidité fort abondante. J’alternais mes coups de langue entre son vagin, ses lèvres intimes et m’attardais sur son clitoris dressé avec lequel je m’attelais à exciter du mieux que je pouvais.
esclave Sophie MDE ne bronchait pas, elle était d’une immobilité impressionnante, une véritable statue au silence parfait. Et si sa cyprine ne coulait pas abondamment, j’aurai pu croire que je léchais une statue de marbre, tellement elle ne laissait apparaitre aucune excitation, du moins en apparence ! Alors que je m’efforçais à lui procurer un orgasme, esclave Joëlle vint entre mes jambes s’agenouiller et se saisit de ma nouille déjà en érection par cette situation des plus excitantes…

esclave Joëlle me reprit en bouche et ne ménagea pas ses va-et-vient rapides et cadencés dans sa cavité buccale tout en m’aspirant fortement et salivant grandement… J’avais vraiment l’impression qu’elle avait reçu comme exigence de me pousser à la faute avec la consigne de me faire éjaculer impérativement sous peine qu’elle soit, elle-même sanctionnée.… Surtout quand Divine d’Evans prit ma tête et la poussa derrière ma nuque pour la plaquer fermement contre le pubis de la belle et ainsi m’imposa le frottement de ma langue contre le vagin d’esclave Sophie MDE, faisant pivoter à répétition, ma tête de bas en haut. Ainsi mon nez enfoui entre ses lèvres intimes, je respirai mal et l’odeur des sécrétions de la femelle enivraient encore plus mes sens et ma libido était en exergue. J’activai encore plus ma langue ce qui provoqua tout d’un coup un orgasme sans broncher de l’esclave Sophie MDE, qui ne laissa encore rien paraître, parfaitement formatée au dressage du Maître à cet exercice. Mon visage inondé, je buvais sa cyprine si onctueuse et abondante ce qui me fit supposer que sa jouissance était très puissante mais parfaitement contrôlée… Tandis que je me délectais des dernières gouttes de sa mouille, Divine d’Evans fit de même avec la tête de Joëlle, qu’elle imposa un rythme régulier et cadencé de va-et-vient à me sucer avidement et ce qui provoqua l’inévitable ! En effet, cela me fit éjaculer sans tarder, malgré tous mes efforts à me retenir, je ne pus empêcher mon sperme de jaillir dans la bouche de Joëlle qui, instinctivement avala sans attendre…

- Mais ? Tu as délibérément joui, le chien … Espèce de bâtard mal éduqué ! Incapable de te retenir Tu seras puni pour cette inexcusable faute, ça je te le garantis …, me dit-il en me cravachant sévèrement le dos et le cul ...

- Soit ! … Maintenant ta nouille est bien redevenue molle et donc il est temps que tu reçoives ta récompense qui scelle définitivement ta plus totale et définitive dépendance… N’est-ce-pas un bizarre paradoxe, qu’en même temps, tu mérites une punition et que tu gagnes une récompense !

Et avant qu’il ne remettre le mors en place, soulevant le petit carré de velours noir, Il se saisit d'une cage de chasteté qu'il vint fixer à mon intimité encore dégoulinante, la fermant par un minuscule cadenas d'acier.

- Voilà, dit Monsieur Le Marquis d'Evans, tu porteras désormais cette cage en permanence. Il est temps que tu renonces pleinement au statut d'homme auquel peut-être tu croyais encore pouvoir prétendre. esclave tu es, esclave tu seras, maintenant et à jamais. Juste un esclave, une créature inférieure, de la plus basse caste qui soit, et un objet sexuel qui sera dressé pour n'être utilisé que par ses orifices. Si on décide de t'autoriser un jour à jouir, ce sera juste pour te vidanger les couilles selon Ma convenance et Mon bon Vouloir. Tu ne quitteras jamais cette cage, sauf une fois par semaine, pour un nettoyage complet sous la surveillance de Joëlle qui veillera à ce que tu ne tentes pas de jouer avec ton organe qui ne saurait avoir d'autre fonction que te permettre de pisser. Moi Seul possède la clé de cette cage, Moi Seul si je le décide un jour ai Le Pouvoir de t'en libérer. Mais dis-toi bien qu'une telle option n'est même pas hypothétique, elle n'est pas, tout simplement. esclave tu es, esclave tu seras, maintenant et à jamais.

Visiblement amusée, La Dominante Cousine du Maître, Divine d’Evans, applaudit cette déclaration du Châtelain. Quant à moi, il allait donc falloir que j'apprenne à vivre en permanence dans cette cage, comme j'avais appris à vivre dans la condition permanente et définitive d'esclave avec la reconnaissance et le bonheur de vénérer Un Maître si exceptionnel que je me sentais prêt à tout subir par Lui et pour Lui, telle subir la punition que je méritais, même si visiblement on m’avait volontairement poussé à la faute …...

(A suivre …)

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